Plus de 150 km/h dans les bras en Victor !
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Plus de 150 km/h dans les bras en Victor !
Dimanche dernier en Normandie le soleil était de la partie.
Je venais de refaire à neuf une partie du circuit électrique de dessous la selle et décidais de tester le travail et de faire le nième petit tour journalier du WE avec la Victor.
Le ciel était grand bleu, l’air frais, juste ce qu’il faut pour une agréable balade.
Boté, casqué au couleur Phil Red (mon pilote préféré, mis à part Ago !), lunettes de soleil, Blouson-motard renforcé sur le dos, celui qui nous fait passer pour des premières lignes de basse ball, me voila parti.
On sort la machine, pour procéder à sa mise en route au grand jour. Que tout le monde en profite !
On en fourche, contrôle le point mort, contact, vérification de l’allumage du phare, ouverture de l’essence, on titille le bitonio, on recherche du point de compression, un petit coup de soulagement de la compression, et hop ! un coup bref et dynamique …Et les pompompompom secs se font entendre …..dans tout de quartier. ( On se dit que c’est tout de même super l’allumage électronique !)
Après quelques instants d’écoute de la mélodie et se féliciter de la régularité du ralenti, Retrait tranquille de la béquille Bongck !
Deux ou trois montés de régime pour s'assurer d'une bonne carburation.
Un petit contrôle du réglage du rétro, personne en vue, et Clongck ! première, deuxième, troisième en enfilade sur un filet de gaz et une mélodie assourdissante de pétarades sèches et graves ……. quel bonheur !
Direction la route des falaises …
Apres la traversé de quartiers résidentiels boisé et silencieux, nous débouchons sagement, (50/60 km/h au compteur BITWIN... ) au grand jour sur la ligne droite des falaises avant de plonger vers la « valeuse ».
L’habitude de cette route droite en faux plat me pousse à monter sérieusement le régime pour atteindre les 90/100 avant d’attaquer le premier virage et freinage de la descente.
A peine avais je commencer à pousser la machine qu’une violente rafale de vent nous surprend,
Probablement un ancien réflexe de jeunesse me fait rentrer la quatrième, me coucher sur le réservoir et serrer la machine pour faire corps avec elle.
La rafale arrive presque de face, elle est si violente qu’elle m’oblige à rectifier ma trajectoire et faire front dans l’axe.
En une fraction de seconde mon casque, qui est bien ajusté avec sa visière baisée, est prêt à quitter ma tête, l’air s’engouffre violemment derrière la visière de protection, mes bras se sentent arrachés des commandes, ( Heureusement la veille j’avais apaisé abaissé l’incidence du guidon que je remonte pour les balades en chemins), le blouson me transformer en parachute de freinage de rafale de tour de mission.
Bloquée soudainement par le vent, la machine hésite une fraction de seconde puis encaisse la demande de sur-régine et vaillamment donne toute son énergie pour lutter et avancer en s’accrochant au macadam.
Un bref coup d’oeil au compteur : 54 km/h. j’ai l’impression d’être arrêté, faire du surplace, je m’entends plus les pétarades seulement le hurlement strident de la rafale.
Ca dure 5 ou 6 secondes peut être 7 puis d’un coup la Victor bondi en sur régime, Je reprends mon cap, le bon régime et une position plus agréable.
Nous venions d’affronter une rafale à plus de 100 km/h.
Cent plus une cinquantaine de km/h ca fait bien 154 km/h dans les bras? , non !?
C'est l’anémomètre du club de voile ou je me rendais qui me la donnera la vitesse de cette rafale !
Leçons :
- On ne part pas en moto lors que le vent est surpuissant ! (tempête)
- la rafale serait venue de coté: je serais parterre !
- La puissance « tracteur" de cette machine a été une source de sécurité,
- Un casque bien ajusté avec visière couvrante et des lunettes englobantes, permet de maintenir la vision de la situation et d'agir.
Je venais de refaire à neuf une partie du circuit électrique de dessous la selle et décidais de tester le travail et de faire le nième petit tour journalier du WE avec la Victor.
Le ciel était grand bleu, l’air frais, juste ce qu’il faut pour une agréable balade.
Boté, casqué au couleur Phil Red (mon pilote préféré, mis à part Ago !), lunettes de soleil, Blouson-motard renforcé sur le dos, celui qui nous fait passer pour des premières lignes de basse ball, me voila parti.
On sort la machine, pour procéder à sa mise en route au grand jour. Que tout le monde en profite !
On en fourche, contrôle le point mort, contact, vérification de l’allumage du phare, ouverture de l’essence, on titille le bitonio, on recherche du point de compression, un petit coup de soulagement de la compression, et hop ! un coup bref et dynamique …Et les pompompompom secs se font entendre …..dans tout de quartier. ( On se dit que c’est tout de même super l’allumage électronique !)
Après quelques instants d’écoute de la mélodie et se féliciter de la régularité du ralenti, Retrait tranquille de la béquille Bongck !
Deux ou trois montés de régime pour s'assurer d'une bonne carburation.
Un petit contrôle du réglage du rétro, personne en vue, et Clongck ! première, deuxième, troisième en enfilade sur un filet de gaz et une mélodie assourdissante de pétarades sèches et graves ……. quel bonheur !
Direction la route des falaises …
Apres la traversé de quartiers résidentiels boisé et silencieux, nous débouchons sagement, (50/60 km/h au compteur BITWIN... ) au grand jour sur la ligne droite des falaises avant de plonger vers la « valeuse ».
L’habitude de cette route droite en faux plat me pousse à monter sérieusement le régime pour atteindre les 90/100 avant d’attaquer le premier virage et freinage de la descente.
A peine avais je commencer à pousser la machine qu’une violente rafale de vent nous surprend,
Probablement un ancien réflexe de jeunesse me fait rentrer la quatrième, me coucher sur le réservoir et serrer la machine pour faire corps avec elle.
La rafale arrive presque de face, elle est si violente qu’elle m’oblige à rectifier ma trajectoire et faire front dans l’axe.
En une fraction de seconde mon casque, qui est bien ajusté avec sa visière baisée, est prêt à quitter ma tête, l’air s’engouffre violemment derrière la visière de protection, mes bras se sentent arrachés des commandes, ( Heureusement la veille j’avais apaisé abaissé l’incidence du guidon que je remonte pour les balades en chemins), le blouson me transformer en parachute de freinage de rafale de tour de mission.
Bloquée soudainement par le vent, la machine hésite une fraction de seconde puis encaisse la demande de sur-régine et vaillamment donne toute son énergie pour lutter et avancer en s’accrochant au macadam.
Un bref coup d’oeil au compteur : 54 km/h. j’ai l’impression d’être arrêté, faire du surplace, je m’entends plus les pétarades seulement le hurlement strident de la rafale.
Ca dure 5 ou 6 secondes peut être 7 puis d’un coup la Victor bondi en sur régime, Je reprends mon cap, le bon régime et une position plus agréable.
Nous venions d’affronter une rafale à plus de 100 km/h.
Cent plus une cinquantaine de km/h ca fait bien 154 km/h dans les bras? , non !?
C'est l’anémomètre du club de voile ou je me rendais qui me la donnera la vitesse de cette rafale !
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- La puissance « tracteur" de cette machine a été une source de sécurité,
- Un casque bien ajusté avec visière couvrante et des lunettes englobantes, permet de maintenir la vision de la situation et d'agir.
Félix MERMET- Messages : 2383
Date d'inscription : 11/11/2016
Age : 70
Localisation : Vincennes 94300
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